Culte du dimanche 15 Août 2021 au tabernacle d’etoa
Views: 12
Culte du dimanche 15 Août 2021 au tabernacle d’etoa.
Le culte a été suivi en direct avec l’église Love Divine Sanctuary
textes lu: Genèse 50: 24-25, Exode 13:19.
Titre: Le choix d’une épouse ( introduction et conclusion de la bande)
Prédicateur : Pasteur Ombang Christian
Introduction :
Dieu pourvoit toujours d’un moyen de s’en sortir pour son peuple. Le moyen de Dieu pour visiter son peuple c’est au travers d’un prophète. Ceci s’est fait au temps de la famine, lorsque Dieu utilisa Joseph pour sauver son peuple. Aujourd’hui Dieu a fait pareil en envoyant le prophète William Marrion Branham pour nous conduire. Ainsi, les problèmes que nous avons doivent être ramenés au prophète, c’est alors que Dieu nous répondra favorablement, parce qu’il exhause nous besoins et non nos désirs. Écoute de la bande: la naissance naturelle se produit par élection. Il y’a plusieurs germes qui peuvent féconder l’ovule, mais un seul y arrive. Ceci est comme le peuple d’Israël qui quitta l’Égypte, il était au nombre de deux millions de personnes, seulement deux d’entre parvinrent à entrer à Canaan. Le prophète déclara également que si un chrétien est dans une église qui n’est pas à la hauteur de ce que Dieu demande, alors il faut sortir de la pour entrer en Christ, il parla également de Los Angeles en disant : » repens-toi Los Angeles ». Conclusion : nous sommes tous confrontés à faire un choix dans la vie, celui d’aller à l’école ou pas, celui d’aller au Ciel ou pas. En ce qui concerne le choix du conjoint nous devons faire attention parce qu’un mauvais peut nous conduire en enfer. Dieu place également l’église devant un choix qui est de choisir entre la Parole de Dieu ou la dénomination. Le choix d’une épouse sur le plan naturel typifie le spirituel, Dieu ne regarde pas la beauté extérieure de l’église, le choix de Dieu est basé sur le caractère. Ainsi Christ ne vient pas chercher une belle Église en apparence, mais celle qui a un bon caractère. Nos devons donc revenir à la Parole, car il se fait plus tard que nous ne le pensons