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NE NOUS LAISSONS PAS CORROMPRE PAR LES METS DE LA COUR BABYLONIENNE, MAIS AYONS LES SENTIMENTS DE CHRIST

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LETTRE AUX COMPATRIOTES DE LA DIASPORA PCI MAG, ANNÉE DIX, SEMAINE QUATRE, MARS 2022

TITRE : NE NOUS LAISSONS PAS CORROMPRE PAR LES METS DE LA COUR BABYLONIENNE, MAIS AYONS LES SENTIMENTS DE CHRIST.

Très chers compatriotes bien-aimés de la diaspora élue de Dieu shalom.

Toujours plus grandissant est le plaisir de vous voir lire cette lettre hebdomadaire. L’actualité de mise aujourd’hui tourne tout autour de la guerre. Nous même, ça ne nous loupe pas. C’est ainsi que dans notre avant dernière lettre, nous avons été trop prémonitoire en parlant du début de la troisième guerre mondiale et encore dans notre dernier épître, nous l’avons intitulé regard sur le monde parlant de la guerre Russo-Ukrainienne. Nous vivons là les prophéties des derniers jours du temps de la fin comme l’a dit le prophète majeur William Marrion Branham. Mais souflez que cette semaine, je vous parle de tout autre chose aussi importante pour notre marche chrétienne. Il s’agit d’avoir les sentiments qui étaient en Jésus-Christ.

Philippiens 2:5-7 nous le recommande vivement en nous exhortant à le faire en tout temps même pendant la guerre lordqu’il dit : << Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ: existant en forme de Dieu, il n’a point regardé son égalité avec Dieu comme une proie à arracher, mais il s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes. > > Nous tous diasporiens ayant quitté notre pays d’origine d’une manière ou d’une autre pour diverses raisons à des âges relativement variés, il y a même peut être certains qui sont nés dans la diaspora et qui n’ont pas changé de nationalité. La Bible nous parle d’un diasporien, Daniel.

Il est rapporté que Daniel était encore tout jeune lorsqu’il fut emmené captif à Babylone. Il devait avoir quinze ou seize ans, car il est appelé un enfant. Pourquoi Daniel refusa-t-il les mets plantureux de la table du roi? Pourquoi refusa-t-il de prendre du vin comme boisson, alors que c’était sur les ordres du souverain qu’on le plaçait devant lui? Il savait qu’avec l’habitude le vin lui deviendrait agréable, et qu’il finirait par le préférer à l’eau.

Daniel aurait pu avancer qu’en se trouvant à la table royale et sous les ordres du roi, il lui était impossible d’adopter une autre ligne de conduite. Mais lui et ses amis se concertèrent. Ils discutèrent toute l’affaire pour voir s’il serait possible d’améliorer leurs forces physiques et spirituelles par l’usage du vin. Ils étudièrent diligemment la question. Le vin en lui-même, décidèrent-ils, était un piège. Ils connaissaient l’histoire de Nadab et Abihu, qui leur était parvenue sur les parchemins. L’usage que ces hommes avaient fait du vin finit par les inciter à y prendre plaisir. Ils buvaient du vin avant leur service sacré dans le sanctuaire. Ils avaient l’esprit confus. Ils ne pouvaient distinguer la flamme sacrée du feu ordinaire. Le cerveau engourdi, ils firent ce que le Seigneur avait défendu à tous ceux qui étaient chargés du saint office. Ils se servirent d’un “feu étranger” pour allumer leurs encensoirs, alors qu’il leur avait été expressément ordonné de se servir seulement du feu sacré que Dieu lui-même avait allumé, et qui ne s’éteignait jamais. …

Ces jeunes captifs tinrent compte aussi que le roi prononçait toujours une bénédiction avant ses repas, s’adressant à des idoles en tant que divinité. Il réservait une partie de sa nourriture, et aussi une partie du vin, pour les présenter aux idoles qu’il adorait. Cet acte, selon l’instruction religieuse des Hébreux, consacrait tout au dieu païen. Daniel et ses trois compagnons estimèrent que s’asseoir à une table où une telle idolâtrie était pratiquée serait déshonorer le Dieu du ciel. Ces quatre enfants décidèrent qu’il leur était impossible de s’asseoir à la table du roi, de manger la nourriture qui y était placée, ou de boire le vin, quand tout avait été consacré à un dieu païen. … Ils n’étaient pas outrecuidants, mais animés par un amour inébranlable pour la vérité et la droiture. Ils ne choisirent pas de se singulariser, mais ils durent le faire, afin de ne pas se laisser corrompre par les mœurs de la cour babylonienne.
Sur ce chers bien-aimés, je mets le capuchon de mon stylo pour bien protéger la mine car dans quelques jours s’il plaît à Dieu, nous allons encore nous retrouver pour parler encore de la parole de vie qui vivifie nos âmes, affermit nôtre foi et nous place dans l’hôtel de l’attente malgré les guerres et les bruits de guerre.

Jules Pierre Moune

Éditeur de La Plateforme, Il peut Publier et supprimer un Article.

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