APPRENDRE DE LA NATURE ET NON DE L’ARTIFICIEL
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LETTRE AUX COMPATRIOTES DE LA DIASPORA PCI MAG, ANNÉE DIX, SEMAINE UN AVRIL 2022
TITRE : APRENDRE DE LA NATURE ET NON DE L’ARTIFICIEL
Shalom bien – aimés compatriotes de la diaspora. Une nouvelle semaine de grâce PCI nous offre toujours l’agréable plaisir de nous dire quelque chose de plus relatif à notre quotidien. Luc 12:28 montre que <<
Si Dieu revêt ainsi l’herbe qui est aujourd’hui dans les champs et qui demain sera jetée au four, à combien plus forte raison vous vêtira-t-il, gens de peu de foi! >>
Par ce qui précède bien – Dieu nous encourage à contempler son œuvre dans le monde naturel. Il désire que nous détournions notre esprit de l’étude de l’artificiel pour nous tourner vers ce qui est naturel. Nous le comprendrons mieux en levant les yeux vers les montagnes de Dieu, pour contempler les œuvres qu’Il a faites de ses propres mains. Elles sont le travail de Dieu. Sa main a modelé les montagnes et les maintient en place, et elles ne remueront pas, sauf sur ses ordres. Le vent, le soleil, la pluie, la neige et la glace sont les serviteurs de sa volonté.
Pouvons-nous donc être surpris que le Christ, qui a fait toutes choses, ait choisi le plein air pour son sanctuaire; qu’Il ait désiré être entouré par les œuvres de sa création? … Jésus tira ses enseignements spirituels des choses de la nature, familières à ses auditeurs. Il s’en servit pour représenter la vérité. Il cueillait les lis, les fleurs de la vallée, les plaçait entre les mains des petits enfants, et par ces simples instructeurs, il proclamait la vérité de sa Parole. La Parole de Dieu et la nature constituent notre manuel d’étude. Dieu a répandu pour nos sens les beautés de la nature, et Il constate avec le plaisir et la joie d’un Père à quel point ses enfants jouissent des belles choses qui les entourent.
La racine de l’arbre a une double tâche. Elle doit s’attacher fermement au sol par ses radicelles, tout en tirant la nourriture désirée. Il en est de même pour le chrétien. Lorsque son union au Christ, la branche maîtresse, est complète, lorsqu’il se nourrit de lui, des courants de force spirituelle sont transmis aux branches. Les feuilles d’une telle branche peuvent-elle se flétrir? Jamais. Aussi longtemps que l’âme se tend vers le Christ, il y a peu de danger que la feuille se fane, s’étiole et pourrisse. Et les tentations qui peuvent l’assaillir comme un ouragan ne déracineront pas le vrai chrétien, car il tire les mobiles de ses actes de son profond amour pour son Rédempteur. Son affection pour son Maître est authentique et sainte. Et il est compté parmi les chrétiens allègres et aimables dont le Christ peut dire: “Vous êtes mes témoins.” Ésaïe 43:10. …
Dieu purifiera de toute iniquité ceux qui se sont précipités vers lui pour trouver du secours; ceux qui ont cru le message envoyé par le ciel, qui ont l’assurance que, s’ils confessent leurs péchés, il est fidèle et juste pour les leur pardonner. Dieu a promis par sa grandeur et son infinité qu’Il accorderait le pardon et la paix à tous ceux qui viendraient à lui au nom de Jésus.
Sur ce, disons nous à la prochaine.