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DIEU EST D’ACCORD POUR QUE NOUS SOYONS PROSPÈRE À TOUS ÉGARDS

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TITRE : DIEU EST D’ACCORD POUR QUE NOUS SOYONS PROSPÈRE À TOUS ÉGARDS

Chers compatriotes de la diaspora de benidiction, je vous salue cette fin de mois de janvier l’an de grâce 2022 par ce verset de 3 Jean 1.2 disant individuellement à chacun de nous : << Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme.” >> Dieu nous a gardé la vie sauve. Dieu veut la prospérité de ses enfants frères et sœurs en Christ. Jésus, le Bon Berger, le dit clairement : “… moi [Jésus], je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance”>> (Jean 10.10). Mais cette prospérité, il la veut équilibrée. Le souhait de l’apôtre Jean, c’est que notre prospérité matérielle soit le reflet de notre prospérité spirituelle : “… que tu prospères […] comme prospère l’état de ton âme”. >>

Non, notre Dieu n’est pas contre la prospérité matérielle…
Durant des siècles d’obscurantisme religieux, les gens ont été abreuvés de l’idée erronée que la pauvreté était une grande vertu, qu’elle était le garant de richesses inconcevables dans l’Au-delà. Parallèlement, l’église accumulait des richesses, en partie par le trafic des indulgences, pour lequel l’invention du Purgatoire était un trait de génie. Ne prêchait-on pas que ” sitôt que l’argent résonne dans la caisse, l’âme s’envole du purgatoire ” ! C’est cet abus que combattit Luther dans la 27ème de ses 95 thèses affichées le 31 octobre 1517 (06 siècles) à la porte de l’église du château électoral de Wittenberg.

Mais le retour à la simplicité de l’Évangile n’a pas été seulement pour le meilleur, car le pendule va toujours d’un extrême à l’autre. On vit apparaître un évangile frelaté, faisant la part belle aux appétits charnels des humains, le besoin d’amasser, la soif du pouvoir que donne l’argent, l’orgueil du possédant, bref ce qu’on a appelé “l’évangile de la prospérité”. Certains évangélistes se sont fait photographier devant leur Rolls Royce, pour faire état de leur “bénédiction”.

“… que tu prospères comme prospère l’état de ton âme”, >> nous dit Jean ! Une réussite matérielle qui ne correspond pas à une prospérité spirituelle n’est qu’un leurre, que dis-je, une malédiction, car elle est le plus pernicieux des pièges pour notre orgueil si prompt à s’élever, et elle nous invite si complaisamment à nous installer confortablement dans le terrestre, en oubliant facilement le céleste !

Quelle sagesse, dans la prière du sage Agur : ” << Ne me donne ni pauvreté, ni richesse, accorde-moi le pain qui m’est nécessaire. De peur que, dans l’abondance, je ne te renie et ne dise : Qui est l’Éternel ? Ou que, dans la pauvreté, je ne dérobe, et ne m’attaque au nom de mon Dieu.” >>( Proverbes 30.8-9)

Non, notre Dieu n’est pas contre la prospérité matérielle ; mais Il veut que nous possédions avant tout la spiritualité nécessaire pour la bien gérer, avec sagesse et discernement, en vue du plus grand bien de son royaume et de ses enfants. Et Dieu peut alors ajouter les moyens pour le soutien de son oeuvre qui doit prospérer entre nos mains. L’évangile à laquelle nous sommes tous conviés en apostolat permanent est gratuite et necessite beaucoup de moyens. C’est pour cela que notre prière aujoud’hui est de remercier notre Dieu, pour les bienfaits dont Il nous comble ! Nous ne savons pas exactement mais lui seul seul connais exactement ce dont nous avons besoin, et ce que nous pouvons gérer. Qu’Il aide chacun de nous à avoir une âme prospère, afin de prospérer à tous égards ! Au nom du Seigneur Jésus. Amen.
Écoutons ce que la bouche de Dieu pour notre temps dit ici à la suite de mon propos << Il vous a parlé. Vous vous êtes levé ici devant Lui, pour Le rencontrer. Vous vous êtes avancé pour Le rencontrer. Il va vous rencontrer. Il est ici maintenant. Seulement, dans votre cœur, confessez tout ce que vous avez fait qui n’est pas bien. Dites : “Ô Dieu, aie pitié de moi, je suis un pécheur. J’ai mal agi et je—je confesse maintenant, de tout mon cœur, que j’ai tort. Je veux que Tu aies pitié de moi et que Tu pardonnes mes péchés. Je—je Te servirai le reste de mes jours. Et que ce petit feu qui brûle dans mon cœur, cette petite foi, qui a fait que je vienne ici à cet autel, ce soir, qu’il puisse pénétrer tout au fond de mon âme. Que ce feu se déclenche maintenant même. Et qu’il brûle ardemment en moi de sorte que je puisse dire : ‘Oui, Tu vis, Jésus.’ Et je T’aime. Et je vais Te voir entrer en scène dans les prochaines heures, pour accomplir des choses, de grandes choses. Je suis si content de m’être avancé quand Tu as parlé à mon cœur. Je vais Te voir débarrasser les gens des cancers, guérir les malades et les nécessiteux. Les entendre revenir et témoigner de ce que Dieu aura fait pour eux; ce Dieu de l’histoire, qui est sorti de l’histoire, c’est le même aujourd’hui, qui entre en scène. En effet, cette fois-ci, Il vient pour rester; Sa seconde Venue.”>> – LE FAIRE SORTIR DE L’HISTOIRE; sermon du premier janvier 1958. paragraphe électronique 117 Rév. William Marrion Branham.
Sur ce, je vous souhaite déjà un bon début du mois de février pour rattraper ce qui nous échappe ce mois de janvier car la grâce de Dieu surabonde sur et pour nous. Shalom shalom.

Jules Pierre Moune

Éditeur de La Plateforme, Il peut Publier et supprimer un Article.

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