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ET TOUT LE PEUPLE DIRA “AMEN!”

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EDITO PCI INFO MAGAZINE SEMAINE TROIS FEVRIER 2021

TITRE: ET TOUT LE PEUPLE DIRA “AMEN!”

Amen est mot hébr., que l’usage liturgique a fait passer en grec, et qui a subsisté dans tous les cultes chrétiens. La racine hébraïque contient les idées de fermeté , de *fidélité , de vérité .
La forme adverbiale employée pour approuver ce qui vient d’être dit ainsi soit-il! ou pour annoncer une affirmation de valeur particulière , a été peu à peu réservée à l’affirmation solennelle des vérités divines et limitée à l’usage religieux . Jésus l’emploie quand il veut souligner le caractère d’autorité divine de ses paroles (Mt 5, Mt 6, Mt 8, Mt 10, Mt 16, Mt 18, Mt 21, Mt 24, Mt 25, Mt 26, Mr 10, Mr 12, Lu 4, Lu 12, Lu 23).

Par sa répétition, Amen prend encore plus de solennité. «En vérité, en vérité, je vous dis…» (Jn 3, Jn 5, Jn 6, Jn 8, Jn 10, Jn 12, Jn 14, Jn 16). Mais, dans ce cas, nos Évangiles, souvent, traduisent en grec l’amen hébr., et dans chaque langue il a ses équivalents. Il n’aurait donc pas pu passer tel quel dans le langage religieux de tous les peuples chrétiens, s’il n’avait pris en Israël un caractère liturgique.

Au temps du Christ, il était usité à la synagogue; l’assemblée saluait de l’Amen la louange ou la lecture de la Loi. Jésus et ses apôtres ont donc trouvé dans le culte de la synagogue l’Amen rituel, liturgique, condensant tout ce que la congrégation veut exprimer de
sincérité, de ferveur et de soumission, dans la prière ou dans la louange. De la synagogue, Amen est tout naturellement passé dans le
culte chrétien, où il se perpétue comme le mot liturgique le plus riche et le plus universel.
Amen n’est donc pas un simple terme emprunté de la langue hébraïque qui termine la plupart des prières de l’Église qui s’emploie, dans le langage familier, pour exprimer que l’on consent à une chose, à toutes les propositions qu’on lui fait ou on dit amen à tout qui s’emploie aussi familièrement pour signifier la Fin d’un discours, d’une proposition, d’un récit.

Pour nous parvenus au Temps de la Fin, l’Apocalypse fait d’Amen un titre du Christ, elle résume en quelque sorte le caractère absolu de la révélation en lui: il est l’Amen (Ap 3:14). Mais il faut noter que, dans le langage religieux, Amen souligne l’acceptation de la révélation plutôt que la révélation même.

Le Christ, proclamé l’Amen, est le Christ reconnu et acclamé comme l’incarnation même de la Vérité. 2Co 1:20.
C’est pour cela qu’au jour de la Voix du Septième Ange, Sentinelle Messager- prophète majeur de Dieu sonnant de la trompette, l’Ange de l’Alliance descend jurer qu’il n’y a plus de délai car les 7 prédictions majeurs devant se réaliser avant le second retour du Seigneur sont conformées du Ciel et la sixième prophétie en cours indique la fin du compte à rebours. Peuple, de Dieu, voyons le temps, c’est le moment de dire AMEN à la révélation du Seigneur en ce jour, la marque de la bête ne s’accommodera pas avec le Sceau de Dieu, unis à la Parole Parlée, dans une fusée divine, nous irons au delà des étoiles jusqu’à Jésus, à l’enlèvement. Alors, marchons, vivons, prions par la foi respectant les principes de l’amour divin.

Jules Pierre Moune

Éditeur de La Plateforme, Il peut Publier et supprimer un Article.

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