Le Maquillage: Anciennes racines du maquillage
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Quand on considère l’origine du maquillage, nous devons demander où son usage a-t-il commencé. Les anciennes racines du maquillage nous offrent un premier aperçu des raisons pour lesquelles le maquillage est utilisé aujourd’hui. Les citations suivantes vous démontreront son usage des débuts.
L’utilisation des produits cosmétiques est très ancienne. La preuve de l’utilisation du maquillage pour les yeux et son utilisation ainsi que des pommades aromatiques a été trouvée dans les tombes anciennes de l’Égypte datant de 3 500 BC.
« Par le 1er siècle AD, les cultures Égyptienne, Romaine, Grecque et du Moyen Orient avaient développé les produits cosmétiques tels que les poudres pour blanchir la peau, le kohl pour les paupières, cils et sourcils; et le fard à joues… » (Encyclopedia Britannica, Vol. 5, p. 196).
Les tombes Égyptiennes constituent les premières références écrites de l’usage du maquillage. Mais les Égyptiens n’étaient pas la seule culture à en faire l’usage. Plusieurs autres cultures ont suivi. Voici quelques précisions:
« Pendant la période prédynastique (se terminant en 3 200 BC), les hommes ainsi que les femmes appliquaient une ligne de peinture verte autour des yeux… Dans la période dynastique, la couleur de peinture utilisée était le gris foncé. L’ocre rouge semble avoir été utilisée pour peinturer les joues et le henné pour les paumes, les ongles, et, vers la fin de la période, du moins, les cheveux. » (Encyclopedia Britannica, Vol. 5, p. 196).
« Les Assyriens avaient recours à la teinture noire pour les sourcils, les cheveux et les barbes, tandis que les Perses utilisaient le henné, qui donnait une couleur rouge-orange, un style qui exista à compter de 1900 BC. La poudre dorée, le fil d’argent, et l’amidon jaune parfumé étaient parfois utilisés dans les cheveux et la barbe pendant les occasions de fêtes…
» (Encyclopedia Britannica, Vol. 5, 1979 Edit., pp. 1017-1018)
Manifestement, l’usage du maquillage a débuté à l’échelle nationale en Égypte. La Bible se sert de l’Égypte comme un type de péché dans ce monde, dont les Chrétiens sont commandés d’en sortir.
Même avant son usage en Égypte, la première prostituée à se peinturer était Sémiramis, la mère-épouse de Nimrod et la fondatrice de la Religion Babylonienne Mystérieuse. (Lisez nos brochures ou publications gratuites: La vraie origine de Noël et La vraie origine de Pâques pour en apprendre plus sur Sémiramis et Nimrod.)
Sémiramis est connue comme étant la mère de toutes les prostituées. Elle utilisait le maquillage aussi bien que des vêtements suggestifs, pour diverses pratiques religieuses et rituels sexuels. La citation suivante décrit le style de vêtements suggestifs qu’elle, et plus tard, les Égyptiens, portaient: « Notre connaissance de la tenue de l’Égypte ancienne provient d’une part, des anciennes peintures et sculptures, puisque très peu de vêtements ont été conservés… Les plus anciennes peintures et sculptures représentant des femmes, les montrent soit, nues ou vêtues de jupes de lin blanc moulantes jusqu’aux chevilles. » (Ibid., pp. 1016-1017).
Avec une variété de statues, peintures et bustes encore existants de l’ancien temps, leurs descriptions nous montrent comment les Égyptiens utilisaient les produits cosmétiques et leurs vêtements moulants pour plaire à leur sensualité. Ils intégrèrent de Sémiramis cette façon de s’habiller dans leur culture, pour paraître comme leurs dieux et déesses assez nombreux, lesquels ils adoraient.
Depuis que l’art décrit ici, emploie aussi l’utilisation du maquillage, ce n’est pas étonnant que 100 ans passés, il était généralement compris et dit que « seules les mauvaises femmes portent du maquillage. » C’est cette même attitude de séduire par la suggestion et par la sensualité qui unit la nudité et l’usage du maquillage. Tous les deux démontrent une séparation avec la modestie et la vertu.
Nous lisons que l’usage des produits cosmétiques prend de l’ampleur de culture à culture. Le Columbia Encyclopedia ajoute davantage sur comment chaque civilisation adopta ses propres méthodes d’application et de fabrication des produits cosmétiques. La citation suivante nous montre comment les cultures Assyrienne, Babylonienne, Perse et Grecque ont toutes suivi la tendance Égyptienne. Attention: « des préparations (étaient) utilisées à l’extérieur pour modifier ou rehausser la beauté de la peau, des ongles, des lèvres et des yeux. L’utilisation de la peinture de la peau comme décoration et pour les besoins religieux a été commune… Les Égyptiens utilisaient le kohl pour foncer les yeux, une peinture rudimentaire était utilisée sur le visage, et les doigts étaient peints de henné… Les produits de beauté ont été à leur apogée dans la Rome impériale, spécifiquement la craie pour le visage et le fard… » (Sixth Edit., 2001). L’emphase a toujours été mise sur la beauté, et en résultent l’orgueil et la vanité.
Plusieurs des femmes qui utilisaient les produits cosmétiques dans ces cultures suivirent l’exemple de Sémiramis et adoptèrent l’usage de produits cosmétiques pour pratiquer la prostitution. L’histoire nous montre comment les femmes appliquaient le maquillage pour changer leurs apparences et pour séduire les hommes. Les prostituées et les « dames » (les femmes qui les appartenaient) étaient spécifiquement identifiées par leurs bijoux, leur maquillage et leurs vêtements de soie.
Voici un exemple qui montre que les femmes qui utilisaient les produits cosmétiques dans la Sparte ancienne étaient spécifiquement reconnues comme prostituée: « Les femmes portaient des robes aux couleurs vives… Elles utilisaient beaucoup de produits cosmétiques… qu’une femme ne pouvait se payer que si elle vivait de la prostitution. » (Magna Grecia—An Overview, Prof. Gino Gullace).
Les premières femmes à utiliser les produits cosmétiques étaient des prostituées! Modifier son visage en le peignant est une coutume que les anciennes PROSTITUÉES ont imposée à l’ère moderne. Les produits cosmétiques n’étaient rien d’autres que des subterfuges utilisés par les prostituées, en effet, apprendre aux hommes à enfreindre le Septième Commandement. Ceci est la leçon de l’histoire, mais le monde entier ment et ignore ces faits!
Plus récemment, le maquillage est devenu très commun dans les quartiers chauds de New York, Amsterdam, Paris et autres métropoles. Aujourd’hui on le retrouve dans presque tous les supermarchés et pharmacies du coin, jusque dans nos mûrs et même à l’intérieur des églises.
Mais qu’est ce que la Bible dit réellement à propos? Voilà ce qui va préoccuper notre prochaine rencontre.
Sur ce, bon jeudi et à jeudi prochain.
Augustin MAKENG