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L’ACCUSATION – (07/07/1963)

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68 Et l’accusation que je porte, c’est contre les églises d’aujourd’hui. Or je–je n’implique pas le pécheur dans cette affaire. J’adresse ceci uniquement à l’église. Ce–ce sera enregistré sur les–les–les bandes, là, et je–je vais tâcher de faire aussi vite que possible. J’accuse cette génération de la deuxième crucifixion de Jésus-Christ.

69 Et maintenant, pour ce faire, en cet âge où nous vivons, je–je dois, pour faire ceci, je dois fournir une preuve. Si je dois porter une accusation, il faut fournir une preuve du délit qui a été commis. Je–je dois, pour pouvoir les accuser, je–je dois fournir la–la preuve, pour prouver ça, qu’il en est bien ainsi, afin que ce que je dis ne soit pas réfuté par le Juge principal. Et moi, je me présente comme avocat pour… dans cette accusation. En prenant comme témoin la Parole de Dieu, j’accuse cette génération de cette crucifixion.

70 Je dois démontrer, et je vais démontrer, que l’esprit qui a amené la première crucifixion, c’est ce même esprit qui est sur les gens aujourd’hui, et qu’il fait la même chose. Je–je dois le faire, s’il s’agit d’une crucifixion, s’ils ont effectivement crucifié. Je dois démontrer aux–aux gens que cette même attitude qu’ont les gens aujourd’hui, elle produit spirituellement la même chose, que ce que les gens avaient fait physiquement en ce temps-là. Ils avaient crucifié, physiquement, Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et maintenant, aujourd’hui, par la même Parole et, par le–le même Saint-Esprit et par la même Parole, je–je voudrais montrer aux églises dans quelle–quelle position elles se trouvent, c’est-à-dire qu’elles sont en train de faire la même chose aujourd’hui, – et la Bible avait dit qu’elles le feraient, – et prouver que c’est en ce jour-là que nous vivons actuellement.

71 La chose n’aurait pas pu se faire il y a quelques années. Je dirais qu’il y a cinquante ans, la chose n’aurait pas pu se faire, mais aujourd’hui, ça tombe vraiment à point. Et la chose n’aurait pas pu se faire il y a peut-être dix ans, mais aujourd’hui ça peut se faire, parce que le–le temps est écoulé. Nous sommes–nous sommes au temps de la fin. Et je crois, comme Son serviteur, que nous sommes–nous sommes presque sur le point de passer de ce pays-ci dans un Autre.

72 Par conséquent, le temps de la repentance, pour ce qui est d’une nation, il est passé. Je crois que cette nation ne peut pas se repentir. Je crois qu’elle a franchi la ligne qui sépare la miséricorde et le jugement. Je crois qu’elle est chancelante dans la balance.

Jules Pierre Moune

Éditeur de La Plateforme, Il peut Publier et supprimer un Article.

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