N’ayez pas peur, la mort demeure le moyen de transport le plus sûr pour le repos de l’âme de celui qui est en Jésus

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Du latin mors, la mort s’entend comme la fin de la vie, la cessation physique de la vie. Si cette définition est connue de tous, elle peut être élargie. En effet, dans son sens médical, elle correspond à la fin des fonctions du cerveau définie par un électro-encéphalogramme plat.

Selon la Bible la mort est comme une séparation : la mort physique est une séparation de l’âme et du corps et la mort spirituelle est la séparation de l’âme avec Dieu. – La mort est la conséquence du péché, mieux, le salaire du péché. Or, le problème du péché a été réglé définitivement pour tout pécheur qui croit en Jésus. “Donc, la mort, ça veut dire la séparation Éternelle d’avec Dieu. Et, souvenez-vous, là, les saints ne meurent pas”, dit la Voix de Dieu dans l’étude des sceaux, 4ème sceau paragraphe 222. C’est pour cela que Paul qui avait reçu la pleine révélation du Christ dans le fondement du Christianisme pouvait crier: “O mort, où est ton aiguillon ?

La mort a donc un aiguillon et c’est le péché; et la puissance du péché c’est la loi. Mais pour la loi, la grâce a été pourvue. Alors, si par l’offense d’un seul il en est beaucoup qui sont morts, par un seul aussi et gratuitement tous sont sauvés par la mort de Christ à la croix. Selon les Écritures, ceux qui héritent du Royaume de Dieu avec l’immortalité triomphent de la mort par la résurrection, et ainsi l’aiguillon” de la mort est vaincu.

Bien sûr qu’avant l’enlèvement de l’Epouse, il y a un mystère : “Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés (1 Corinthiens 15.5). La mort, en tant que dernier ennemi qui sera anéanti, reste donc le moyen de transport le plus sûr pour le repos de l’âme de celui qui est en Jésus.

Les Auteurs de la Bible, lorsqu’ils expriment les sentiments profonds qui nous habitent face à la mort, et plus particulièrement la mort d’un proche, sont en quelque sorte nos intermédiaires auprès de Dieu. Jésus, lui aussi a pleuré…et bien avant lui, le Roi David pleura la mort de son fils Absalon; il frémit, monta vers la chambre haute de la porte et se mit à pleurer. Jésus pleura Lazare, son ami.

Nous avons espoir, c’est pour cela que malgré les larmes, nous sommes costauds dans notre mental, l’Espoir soutient nos cœurs en attente de Son glorieux retour.

La peur de la mort est donc bannie car heureux ceux qui meurent en Christ; bien plus, si l’Esprit de celui qui a ressuscité Christ parmi les morts habite en nous, nous avons l’assurance que cet esprit nous ressuscitera au dernier jour.

Augustin MAKENG

 

Jules Pierre Moune

Éditeur de La Plateforme, Il peut Publier et supprimer un Article.

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