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Célébration de la bénédiction nuptiale de Catherine et Moïse MWAMBO LAMBE (15/12/2019)

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Célébration de la bénédiction nuptiale de Catherine et Moïse

Un événement, une date, un lieu, une cérémonie, une ruée, c’était inédit, une histoire à ne pas raconter, une joie indescriptible, une consolation générale: oui, elle a bel et bien eu lieu, la célébration de la bénédiction nuptiale de Catherine et Moïse, au Mountain Hotel situé à Buéa dans le Sud-Ouest du Cameroun. Le choix du lieu: Mountain Hotel, un hôtel pas des moindres dans la ville de Buéa, reste évocateur de la taille de la cérémonie qui attendait les conviés. Des couleurs vestimentaires, il y en avait de tous bords; des générations humaines de tous ordres: jeunes, adultes et vieux étaient présents; des Hommes de Dieu venus des quatre vents de la République étaient au rendez-vous, quoi de plus normal, ce d’autant plus que le jeune marié est l’un des fils du réputé Pasteur LAMBE Robinson, notre Bombardier International.

Il était 10h lorsque les invités faisaient déjà leur apparition dans l’enceinte de l’hôtel, certains allaient directement à la salle de conférence qui devait abriter la cérémonie de bénédiction nuptiale, alors que d’autres attendaient à la salle d’accueil, s’occupant à faire le tour des lieux pour contempler la beauté sublime de ce gigantesque hôtel, prenant photos et selfies par ci et par là. Le lieu à lui seul préparait déjà psychologiquement à l’ambiance et à la joie que réservait la cérémonie. Il était 10h30 lorsque le Chantre, Frère Gaëtan BEUTCHOU, débuta la louange dont les cantiques étaient à la hauteur de l’événement. Vers 11h, les cris venant de l’extérieur auguraient d’un changement de situation: le marié venait d’arriver et attendait de se faire annoncer. Un sourire géant inondant son visage suffisait pour comprendre la joie, l’extase et le réconfort qu’il éprouvait en ce jour, face à une foule si joviale et enflammée. À 11h précises, ce fût son entrée, accompagné de sa génitrice, l’Epouse de notre Bombardier international; puis à 11h25, la mariée, la plus attendue, fît son apparition avec à ses côtés son cher Papa, Mr EYOUM Guillaume. À toute princesse tout honneur, la foule en liesse ne pouvait se contenir; on entendait à peine le Chantre chanter, tant la joie était si immense que les cris des baffles naturels humains l’emportait. Pas de danse, chants, cris et sourires étaient au rendez-vous. Il faut le dire, le couple était beau: leurs visages laissaient entrevoir l’amour entretenu pendant des années et dont la concrétisation devait être implémentée juste dans quelques minutes sous les auspices du Pasteur Samuel BAHOYA, intervenant du jour. Reçu en chaire, l’Homme de Dieu, dont le souci a toujours été de voir les jeunes se marier et échapper ainsi au piège de l’impureté et de l’impudicité auxquels ils sont confrontés, ne manqua pas de faire des compliments au jeune couple en ces termes: “Moïse est vraiment un formidable garçon. Je l’ai connu ici au Cameroun et chaque fois que j’arrive à Dallas, il m’interprète en anglais; un brave serviteur de Dieu bouré de bons témoignages. Catherine n’en est pas moins une dame de valeur; je crois que ça fait longtemps que je la connais, que ce soit à Douala, Nkongsamba, jusqu’à maintenant; une très brave jeune fille, très bon témoignage; quand ça n’allait pas, elle venait me voir pour la prière: ‘Papa il faut quon prie’ et finalement le Seigneur a aplani toutes choses”.

Il va ainsi donner quelques conseils aux jeunes mariés par ce merveilleux sermon qu’il apporta ce jour même: La fidélité dans les alliances. Partant du constat selon lequel beaucoup ignorent la pertinence et les implications des alliances, les brisant et négligeant sans s’en soucier, Pasteur Samuel BAHOYA, parlant du mariage, qui est une forme élevée d’alliance, va exhorter Catherine à respecter son mari, à Lui être soumise, à le soutenir par une vie de prière et de jeûne comme le firent Aaron et Hur pour Moïse dont les mains faiblissaient pendant la guerre contre Amalek (Exodes 17). Quant au marié, cette citation de Frère BRANHAM constitue le coeur du message qui lui fût adressé: “…Donc, le mari doit mener devant sa femme une vie qui porte sa femme à le respecter comme fils de Dieu. Et, s’il ne mène pas ce genre de vie là, eh bien, alors, évidemment qu’elle ne le respectera pas, parce qu’elle sait de quelle étoffe il est fait. Par contre, quand il s’agit bien d’un homme qui est un homme respectueux, respectueux et pur, envers sa femme et devant sa famille, un vrai serviteur de Dieu, alors, la femme, les enfants et tous devraient respecter ce serviteur de Dieu, avoir de la révérence envers lui.” (W.M. BRANHAM in Le filtre d’un homme qui réfléchit, Parag 73).

À 13h25, ce fût la bénédiction nuptiale proprement dite. Des expressions telles que: “mon Doux Seigneur”, “Je t’aime”, témoignaient de la perspicacité de la ferveur sentimentale de Catherine et Moïse. Pasteur Samuel BAHOYA va ainsi bénir le marié, Frère Moïse LAMBE en invoquant des paroles de prospérité, de réussite et de succès tant dans son couple que dans son Ministère. Quant à Catherine, l’Homme de Dieu ne manquera pas de dire ceci: “Ô notre soeur, que te dirais-je, sinon ce qui a été dit à Rebecca. Sois des myriades, et que ta postérité possède la porte de ses ennemis, et que aucun ennemi ne l’emporte contre toi, le Dieu d’Abraham sera ta protection…”

La Bénédiction nuptiale finie, place à l’ordination du jeune marié comme Pasteur, un événement de plus qui vînt agrémenter la cérémonie jusqu’ici déjà très belle. Sortant comme étant entré-mais non plus à tour de rôle-le couple, main dans la main, débordant de joie et extasié devant la grâce immense de notre Seigneur Jésus Christ, fût raccompagné par des cantiques mélodieux et sublimes.

Une fois à l’extérieur de la salle de conférence, ce fût une pause photo des mariés avec les invités, pendant que les uns et les autres faisaient des loisirs ou prenaient un petit repas de circonstance en attendant le déclenchement des festivités dans la salle de réception dont le décor à lui seul suscitait admiration. La fête fût belle, longue et mémorable.

A notre Seigneur Jésus Christ revient le mérite et tous nos voeux de bonheur au jeune couple LAMBE.

Shalom.

Dim Dibamba Samuel, PCI.

Jules Pierre Moune

Éditeur de La Plateforme, Il peut Publier et supprimer un Article.

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