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LE RESPECT (15/10/1961)

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LE RESPECT (15/10/1961)
165 Si vous ne pouvez pas respecter l’homme, respectez la fonction qu’il remplit pour Dieu. C’est parfaitement juste, voyezvous; respectez-le. Si un prédicateur vient… votre pasteur, respectez-le toujours. J’ai entendu des congrégations parler de leur pasteur, comment… parlant de lui en le dénigrant et le ridiculisant. Comment ce pasteur pourra-t il faire quelque chose pour vous? Il ne le peut pas. Vous… vous ne… vous ne… Je ne parle pas de cette église, mais je parle d’églises que j’ai visitées. Vous devez aimer votre pasteur. Vous devez savoir qu’il est un être humain, mais, pourtant, Dieu en a fait Son pasteur. Le Saint-Esprit en a fait un surveillant, vous devez alors le respecter de cette manière. Peu importe ce que le pasteur a fait, si vous le respectez dans votre cœur, comme serviteur de Dieu, Dieu vous respectera pour l’avoir fait.
166 “Celui qui… celui qui Me reçoit, reçoit Celui qui M’a envoyé”, a dit Jésus. “Celui qui ne Me reçoit pas, ne peut Le recevoir.” Voyez, ils dirent que Dieu était leur père. Il dit : “Votre père, c’est le diable.”
167 Ainsi, voyez-vous, vous devez respecter cela et le croire, croire qu’Il l’est. Oui, Marthe le croyait.
168 Il y a une petite chose que j’ai abordée ce matin, à propos de cette femme syrophénicienne, lorsqu’elle vint. Remarquez comme elle fut repoussée durement. Lui était un Juif, elle, une femme des nations, et elle courut vers Lui. Elle ne savait comment L’aborder, mais elle avait un besoin, et elle savait qu’Il était ce Fils de Dieu. Elle le croyait. Elle… Si… si Dieu répondait à Ses prières pour les autres, Il ferait de même pour elle. Et elle savait que ce qu’Il disait était la Parole de Dieu. Et, si c’était la Parole de Dieu pour les Juifs, c’était aussi la Parole de Dieu pour les Gentils, quoi qu’Il dise. Alors, Jésus l’éprouva. Elle dit : “Seigneur, aie pitié!” Maintenant, observez. Elle dit : “Toi, Fils de David,” parce qu’elle avait entendu les Juifs L’appeler Fils de David. Mais Il n’était pas Fils de David pour elle. Voyez-vous? Elle dit : “Toi, Fils de David.” C’est ainsi qu’un Juif L’aurait abordé, parce qu’elle avait entendu les autres. Elle essaya de s’approcher de la même façon qu’eux, parce qu’elle essayait de trouver le respect; elle essayait de montrer son respect. Elle ne faisait pas semblant; Jésus l’aurait su si tel avait été le cas. Non, Il l’aurait su. Donc, lorsqu’elle arriva vers Lui, elle dit : “Toi, Fils de David, aie pitié de ma fille, car elle est cruellement tourmentée par un démon.”
169 Il se tourna, la regarda et dit : “Il n’est pas convenable pour Moi de prendre le pain des enfants et de le jeter aux chiens.” Ça, LE RESPECT 27 alors! C’en était une, non? Oui, vraiment! Il ne la repoussa pas seulement dans sa requête, mais l’appela un chien. Exactement. Et l’expression “chien” est l’une des plus viles mentionnées dans la Bible, vous savez. Il dit donc : “Il n’est pas convenable pour Moi de prendre le pain des enfants et de le jeter aux chiens.”
170 Elle répondit : “C’est vrai, Seigneur.” “Seigneur!” Alors, elle l’obtint. Il n’était pas un Fils de David pour elle, mais Il était le Seigneur. Elle dit : “C’est vrai, Seigneur. C’est juste, mais les enfants mangent les restes sous la…” ou plutôt, je veux dire “les… les chiens mangent les restes sous la table de leur maître.” Cela eut de l’effet. C’était cela. C’était le respect.
171 Jésus se tourna vers elle et dit : “Ta foi est grande. Maintenant, rentre chez toi, et tu trouveras ta fille comme tu l’as cru.” C’est cela. Pourquoi? C’était son approche.
172 Que serait-il arrivé si elle s’était retournée en disant… S’Il s’était retourné et avait dit : “Il n’est pas convenable de prendre…” En d’autres termes : “Ce n’est pas correct.”
173 Disons qu’une catholique s’approche et dise : “Oh, Frère Branham, je sais que Dieu entend vos prières pour ces gens ici; voulez-vous prier pour moi?” 174 Et je dirais : “Ce n’est pas juste pour moi de prendre le temps de ces enfants ici. Je suis ici pour prier pour ces pentecôtistes et non pour vous, catholiques.” Voyez-vous? Qu’aurait-elle pu dire? Oh, j’imagine qu’elle serait sortie d’ici en tapant du pied. Voyez-vous?

Jules Pierre Moune

Éditeur de La Plateforme, Il peut Publier et supprimer un Article.

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